mardi 21 octobre 2025

L'instabilité politique c'est d'abord la puissance des extrêmes

C’est à la mode, nous sommes entrés dans l’instabilité politique nous répète-t-on sans cesse.

Mais celle-ci n’est pas aussi récente que l’on veut bien nous le dire.

Cette instabilité date de la montée en puissance de l’extrême-droite.

Plus récemment, elle a pris un tour plus menaçant avec l’émergence d’une forte extrême-gauche.

Car l’instabilité politique de ce troisième millénaire est bien la conséquence de ces extrémismes populistes et, désormais, de leurs alliés radicaux.

Et évidemment de leurs électeurs qui jouent la politique du pire, soit par envie, soit par haine, soit par bêtise.

Vouloir blâmer les partis politiques de gauche, du centre et de droite attachés à la démocratie républicaine libérale est tout aussi mensonger que dangereux parce que cela accrédite la thèse selon laquelle ces «tous pourris» doivent être remplacés par un régime fort à tendance autocratique voire totalitaire, ce que proposent les extrêmes comme le RN et LFI en France.

Un régime fort qui, bien sûr, mettrait fin à cette instabilité.

Les exemples actuels et du passé montrent que c’est évidemment faux et que la seule chose à laquelle ces extrêmes populistes veulent mettre fin c’est la démocratie républicaine libérale.

Bien sûr, cela ne dédouane pas les partis «de gouvernement» de leur irresponsabilité dans la prise de conscience qu’il faut tout faire pour éviter l’arrivée au pouvoir de ces ennemis de la liberté.

Au lieu de s’unir parce que la situation l’exige, ils se complaisent dans des querelles d’un autre siècle qui sont, pour l’instant, secondaires.

Et ces querelles sont instrumentalisés par ces extrêmes mais aussi par les médias en affirmant qu’elles sont les causes de l’instabilité, ce qui renforce l’idée qu’il faut un régime fort.

Nous avons déjà vécu cet épisode il y a bientôt cent ans.

Il a fini dans le pire conflit et à 60 millions de morts.

Alexandre Vatimbella 

 




dimanche 14 septembre 2025

L’internationale totalitaire défie les démocraties

Trois des pires dictateurs de la planète se sont retrouvés récemment à Pékin pour se congratuler et afficher toute leur détermination à combattre la liberté dans le monde devant un imposant défilé militaire censé démontrer la puissance de cette alliance, enfin, surtout de la Chine qui est le leader indiscutable de cette internationale totalitaire.

Xi, Poutine, Kim, ils étaient là, tous les trois, sourires aux lèvres, sang aux mains, trois criminels accusés de génocide, de crimes de guerre et d’assassinats en tout genre notamment de leur population.

Un bien triste tableau qui n’est pas nouveau et qui est l’avant-garde de cette internationale totalitaire – dont les autres représentants étaient tous là pour accompagner le trio infernal – qui a choisi d’en découdre contre les démocraties afin d’imposer son ordre qui fascine tant Trump.

Et d’ailleurs, ses leaders ne s’en cachent pas ou plus.

Xi continue de renforcer son armée et peaufine ses plans d’invasion de Taïwan qui pourrait conduire à une guerre généralisée en Asie voire dans le monde, ce qui ne l’effraie guère puisque son «rêve chinois» est d’imposer son ordre totalitaire à la planète.

Poutine continue son agression contre l’Ukraine et menace quotidiennement l’Occident de s’en prendre à lui, les dernières incursions de drones au-dessus de la Pologne et la tentative de truquer les prochaines élections en Moldavie sont les derniers exemples criants de cette volonté de déclencher un conflit généralisé depuis qu’il a reçu le soutien de Xi et du nord-coréen Kim.

Ce dernier ne cesse de renforcer son armée et de développer son arsenal nucléaire tout en aidant Poutine concrètement en envoyant des soldats en Ukraine ou ils rejoignent ceux que la Chine a mis à disposition du dictateur russe en prétendant que ce sont des «mercenaires»…

Au vu de leurs agissements clairement tournés contre la démocratie, qui peut encore prétendre, à part leur propagande éhontée et leurs relais dans nos pays de liberté, qu’ils recherchent la paix et que la menace de guerre n’est pas bien réelle et peut-être pas si lointaine?

Ce défi doit être relevé si nous ne voulons pas passer sous la coupe de dictateurs dont les modèles sont Mao, Staline mais aussi Hitler, les trois plus grands criminels du 20e siècle er parmi les plus atroces dirigeants que l’Humanité a généré.

Nous avons vu ce que ces derniers étaient capables de faire, comment ils ont fait croire que leurs motivations n’étaient que pacifiques et quel a été leurs bilans.

Xi, Poutine, Kim et leurs bandes de criminels sont du même acabit.

Allons-nous faire les mêmes erreurs avec eux que celles que nous avons faites avec leurs modèles il n’y a pas si longtemps?

Alexandre Vatimbella 


samedi 30 août 2025

Qui a décidé de bloquer le pays? Les Français!

Les Français n’aiment pas trop qu’on leur dise la vérité en face mais celle-ci est évidente.

Qui voulait la dissolution de l’Assemblée, il y a un an?

Réponse: les Français.

Qui a voté aux dernières législatives?

Réponse: les Français.

Qui a choisi les députés qui siègent à l’Assemblée?

Réponse: les Français.

Qui crée une crise politique?

Réponse: les députés populistes extrémistes et leurs alliés qui refusent tout consensus et compromis, qui demandent une nouvelle dissolution (dont tous les sondages indiquent que les résultats d’une nouvelle élection ressembleront à la précédente) voire à une démission d’Emmanuel Macron, au mépris total de la Constitution.

Et certains sondages montrent qu’une majorité de Français les soutient.

Dès lors, à la question «qui a décidé de bloquer le pays», la réponse est: «les Français».

Et qui s’apprête à le faire à nouveau: les Français en élisant une Assemblée qui ne permettra pas, comme dans celle-ci, de trouver une majorité stable pour gouverner et une majorité de députés qui prendront enfin conscience des défis qui se posent au pays et qui s’attèlent vraiment à les relever.

Cela s’appelle le déni de responsabilité de rejeter la faute sur les autres et l’irresponsabilité de voter pour des formations extrémistes qui cherchent avant tout à déstabiliser l’Etat de droit, la démocratie et l’ordre républicain.

Les Français ne peuvent pas continuer à jouer la France selon leurs humeurs du moment, à refuser les réformes indispensables et à répondre aux sondeurs que les responsables sont tous sauf eux et à chercher dans les formations politiques les plus démagogues, les plus populistes, les plus extrémistes et les plus irresponsables, la solution aux problèmes qu’elles n’ont pas et dont les agissements si elles parviennent au pouvoir plongeront la France dans le chaos tout en mettant en danger la démocratie républicaine libérale.

A force de ne vouloir rien perdre et de ne pas faire les sacrifices nécessaires pour espérer des bénéfices plus grands, les Français sont dans une logique où ils vont tout perdre.

Alexandre Vatimbella 

 


jeudi 14 août 2025

La démocratie américaine craque de partout et ce n’est qu’un début


Les Etats-Unis sont-ils encore une démocratie?

Cette question aussi stupéfiante qu’elle peut paraître et qui aurait été moquée avec raison avant le 21 janvier, est pourtant tout à fait légitime désormais.

Depuis, Donald Trump a entamé son deuxième mandat et, petit à petit, ses décisions érodent l’Etat de droit et rognent quotidiennement un peu plus l’ordre démocratique.

Que ce soit en matière de politique intérieure qu’extérieure, celles-ci sont à l’opposé de celles que prendrait un véritable démocrate.

Que ce soit sa rencontre avec Poutine ou le déploiement de la garde nationale à Washington après celui de Californie – deux fiefs démocrates, comme par hasard –, pour ne parler que des dernières en date, il agit en véritable autocrate alors que son parti tente de truquer les prochaines élections législatives pour ne pas les perdre comme cela est prévu par les sondages et que la justice est de plus en plus phagocytée avec la nomination de personnages d’extrême-droite dont la seule qualification est leur adoration de Trump à qui ils vouent une fidélité que l’on voit souvent dans les pires totalitarismes.

Le tout sur fond de corruption et d’enrichissement personnel.

Bien sûr, tout cela n’est guère surprenant connaissant le personnage – qui avait annoncé qu’il agirait en dictateur un fois élu – mais la transformation de la première puissance mondiale, de démocratie en autocratie est un bouleversement immense dont beaucoup ne prennent pas la mesure.

Ainsi, les réactions des gouvernants du monde libre, notamment en Europe, ne sont pas à la hauteur de l’enjeu colossal qui se présente à l’existence même de la démocratie américaine et peut-être mondiale dans les années qui viennent.

Quant à l’opposition démocrate aux Etats-Unis, à part l’indignation, peu ou pas grand-chose sauf des recours constants contre les décisions de l’extrémiste populiste devant les tribunaux sachant qu’en dernier recours la Cour suprême à la botte de Trump donnera raison à ce dernier.

Ici, le défi n’est pas de contredire un opposant mais contrecarrer et bloquer les agissements d’un apprenti dictateur qui rêve de changer le régime politique de son pays et d’être président à vie.

Ici désobéissance civile et résistance ne doivent pas de vains mots pour tout défenseur des valeurs humanistes.

Ce qui est abasourdissant, c’est avec quelle facilité et rapidité Trump et ses sbires peuvent détruire l’ordre démocratique et introduire le chaos dans relations internationales.

Du vice-président qui insulte le dirigeant d’une démocratie, Zelensky, dont le pays est attaqué par un des pires despotes de la planète au secrétaire à la Défense qui relaie les appels d’un religieux illuminé qui demande la suppression du droit de vote des femmes en passant par les tentatives de l’Attorney general (ministre de la Justice) d’étouffer le scandale du trafiquant sexuel Epstein où Trump est impliqué jusqu’au cou ou à la chasse aux immigrés qui touchent même ceux qui sont légaux et des Américains de nationalité menée par la secrétaire à la Sécurité intérieure (ministre de l’Intérieur), tous ces fidèles d’entre les fidèles mettent en place un régime autocratique au seul profit de Trump.

Sans parler bien sûr de Musk, ce personnage malsain d’extrême-droite adepte du salut nazi, que Trump avait embauché pour faire imploser les services publics afin de les rendre inefficaces, avec des résultats déjà catastrophiques même si, depuis, l’«ami Elon» a été viré.

Et sans oublier le licenciement de la fonctionnaire qui a eu le malheur de publier les dernier chiffres très mauvais de créations d’emploi et de ne pas avoir eu le réflexe de les maquiller comme le font tous les gouvernements autocratiques avec les statistiques qui ne leur conviennent pas.

Cerise sur le gâteau pour Trump, la fin de l’émission de Stephen Colbert, le talk-show le plus populaire des Etats-Unis afin que Paramount, propriétaire de CBS où officie l’humoriste et fervent adversaire de l’extrémiste populiste, puisse obtenir l’autorisation de l’administration de vendre une partie de son empire médiatique, ce qui passait par faire plaisir à celui-ci – peu de temps auparavant, la société lui avait même donné 16 millions de dollars afin d’éviter un procès où était en jeu la liberté d’information et alors même que Trump n’avait aucune chance de le gagner…

Oui, la démocratie américaine craque de partout et ce n’est qu’un début.

Alexandre Vatimbella 

 

samedi 26 juillet 2025

La réalité ne disparait pas parce que nous fermons les yeux quand elle ne nous plait pas

Nier la réalité n’implique nullement qu’elle n’existe pas.

Fermer les yeux quand elle ne nous plait pas ne la fait pas disparaitre.

Eviter de s’y confronter empêche de changer en mieux la vie.

Refuser d’agir l’aggrave et rend ensuite souvent compliqué, voire impossible de la modifier.

Être lucide et responsable, c’est garder les yeux ouverts, regarder en face la réalité et accepter la confrontation, c’est prendre en main notre présent et notre futur.

L’esquive et la dérobade, en revanche, aggravent les situations et rendent plus difficile leur résolution.

Or, beaucoup trop souvent, nous choisissons de fermer les yeux en espérant qu’en ne voyant pas les choses, celles-ci auront le bon ton de n’être que virtuelles voire que notre déni les dissolve.

Ce comportement peut s’expliquer parce que très souvent la réalité n’est guère affriolante et trop souvent carrément insupportable.

Faire en sorte de ne pas la voir, de l’effacer autant que faire se peu est une défense qui, en elle-même, peut être salutaire pour notre équilibre mental et affectif.

Qui est capable de supporter tous les malheurs du monde 24 heures sur 24 et porter le fardeau d’un monde aussi terrible?

Personne et heureusement que nous pouvons aussi voir un monde où il y a du beau et du bon, que nous pouvons nous projeter dans des univers de félicité ou simplement reposants.

En revanche, à trop fermer les yeux nous aggravons une situation que nous aurions pu régler à temps.

Car, évidemment, pendant ce temps, la réalité est toujours là avec ce qu’elle charrie de problèmes qui se présentent à nous et qui inévitablement causeront, au fil du temps, de plus en plus de dommages.

L’Histoire de l’Humanité fourmille d’exemples aux conséquences désastreuses et qui n’ont malheureusement pas servi de leçon pour faire en sorte que jamais plus nous ne commettions les mêmes erreurs en refusant d’affronter la réalité.

Agir avec lucidité est donc un impératif parce que chaque fois que nous avons pris les problèmes à bras le corps au bon moment, nous avons trouvé des solutions voire nous les avons réglés.

Et cela crée une dynamique vertueuse, à la fois, pour apporter du bon et du beau dans la réalité mais également pour ne jamais fermer les yeux quand l’urgence commande.

Alexandre Vatimbella 

 

 




jeudi 17 juillet 2025

Les responsables et les irresponsables

Quelle que soit la justesse et la faisabilité des plans rédigés François Bayrou et soutenus par l’axe central, leur présentation a encore montré le clivage entre responsables et irresponsables, entre pragmatiques et populistes, entre la médiété et l’extrémisme.

Et, encore une fois, c’est le Centre et l’axe central qui ont montré de la responsabilité, un pragmatisme et la recherche d’un juste équilibre pour sortir le pays de l’ornière de la dette et relancer la machine économique du pays.

Pendant ce temps, Gauche, Droite et leurs extrêmes ont réagi comme d’habitude avec leur clientélisme qui plombe le pays depuis des années.

Dessus, s’est rajouté ce populisme dont si friands les extrémistes qui n’ont aucune solution pour traiter les problèmes et qui s’en sortent toujours par des slogans aussi primaires qu’imbéciles du genre «faire payer les riches», «nationaliser toutes les entreprises», «fermer les frontières» ou «supprimer les fonctionnaires».

On aimerait que, comme dans toutes les démocraties, les électeurs ne soient pas sensibles à ces sirènes qui nous mèneraient droit dans le mur comme de funestes exemples l’ont montré si elles étaient mises en œuvre.

On aimerait qu’ils prennent le temps de réfléchir à ce qu’est une politique responsable et qu’ils refusent une fuite en avant prônée par quelques politiciens dont le seul but n’est pas la résolution des problèmes mais d’occuper le pouvoir en vue de satisfaire leurs clans et leurs affidés.

On aimerait qu’ils vivent dans le monde réel.

Personne ne dit qu’une politique responsable dans les moments de crise fait rêver mais, en tout cas, elle prépare la société à se battre afin de permettre l’espérance et non de créer des fantasmes qui n’ont d’autre destinée que d’enfoncer le pays dans une crise d’une toute autre ampleur.

Que ce soit, comme ici, en matière de politique intérieure, ou de politique extérieure avec tous les dangers létaux que la démocratie doit affronter, les responsables savent qu’ils vont être l’objet de critiques et d’attaques virulentes mais ils sont conscients, aussi, de la justesse de leur combat.

Alexandre Vatimbella


lundi 14 juillet 2025

Pendant que le pantin Poutine exécute sa danse macabre, le marionnettiste Xi règle la chorégraphie

Oui, la menace, là, tout de suite, aujourd’hui, c’est Poutine et il faut la combattre avec la force et la détermination nécessaires.

Mais ne pas voir plus loin que le bout de son nez, c’est déchanter demain.

Parce que le despote russe, in fine, n’est qu’un pantin, certes criminel et dangereux, qui devrait rendre des comptes devant un tribunal international, mais avant tout un pantin dans les mains du marionnettiste en chef, le non moins criminel Xi.

Oui, c’est le despote chinois qui règle la chorégraphie pour une raison simple: sans la Chine, la Russie n’aurait jamais pu soutenir l’effort de guerre mis en route depuis plus de trois ans.

Le pays et son régime se seraient effondrés parce que son économie, sa démographie et son armée n’étaient pas capables de mener un conflit de cette ampleur pendant une durée aussi longue.

Voilà qui était inacceptable pour Xi et son alliance avec Poutine pour imposer un nouvel ordre mondial totalitaire.

Ce qui a pu induire les gens en erreur au début du conflit, c’est que la Chine pensait que la Russie allait écraser l’Ukraine en moins d’une semaine, comme le disait alors Poutine.

Alors, les propos des dirigeants de Pékin étaient imprégnés de bons sentiments et d’une soi-disant volonté de jouer les bons offices pour trouver une solution négociée au nom d’un devoir humanitaire.

Une tentative de se donner le beau rôle et d’être en accord avec sa doctrine martelée pendant des années sur la souveraineté nationale qui ne devrait souffrir aucune entorse, tout en attendant le fait accompli, l’invasion et la défaite de l’Ukraine…

Mais, tout en jouant à vouloir être un entremetteur entre Poutine et Zelensky, Xi avait évidemment approuvé l’agression du maître du Kremlin avant son déclenchement tout en espérant que celle-ci se terminerait en quelques jours pour ne pas avoir à apparaître comme son parrain et pour éviter que l’on découvre qu’il fournissait son ami en armes, soldats (les fameux «mercenaires»!) et autres composants électroniques pour la mener.

Ce qui est ahurissant, rétrospectivement, c’est le nombre de personnes qui ont cru que la Chine était neutre dans ce conflit.

On passe les pseudo-experts médiatiques qui se sont encore une fois ridiculisés mais cela a aussi été le cas de beaucoup de spécialistes de la Chine.

Quant aux gouvernements occidentaux, on ne sait si la mansuétude vis-à-vis de la Chine était un stratagème pour éviter que Xi ne s’engage trop dans la guerre de Poutine et qu’il puisse éventuellement faire pression sur lui ou si certains d’entre eux ont vraiment pensé que le dictateur chinois était sincère dans ses propos.

On excusera Zelensky qui, évidemment, voulait prendre au mot Xi pour l’obliger à agir dans le sens de la paix.

On a vu ce que cela donnait…

Alors, aujourd’hui, que le marionnettiste est complètement démasqué, où sont les condamnations et les sanctions?

Où sont les déclarations qui devraient, à chaque réaction aux crimes de Poutine – comme les attaques quotidiennes contre la population civile ukrainienne, ce qu’il avait fait en Syrie quelques années plus tôt et en Tchétchénie encore quelques années auparavant –, mettre dans le même sac nauséabond, Xi, déjà accusé de génocide envers les Ouïghours?

Car, in fine, qui est le plus dangereux: le pantin ou son marionnettiste?

Alexandre Vatimbella